



Sous un soleil radieux, se croyant au beau milieu de l’été, nous avons accompagné Ludmilla dans sa dernière demeure « là où le chant des anges ne cesse jamais, là où il n’y a ni larmes ni gémissements » (office des défunts).
L’assemblée réunie en grand nombre, éparpillée devant la chapelle ou serrée à l’intérieur, était en complète communion avec Ludmilla. C’était comme si invisiblement cette dernière, quittant son corps terrestre, nous invitait à célébrer la joie de la rentrée dans la demeure de Dieu.
Tout le (...)