Sous le soleil d’Ajaccio

Il ne suffit pas d’aller en Corse pour connaître les corses, il faut encore avoir la chance de vivre avec eux.

C’est ce que nous avons réalisé en cette fin du mois d’août, non seulement pour découvrir ce magnifique pays, mais surtout pour y laisser un témoignage de foi.

Notre atelier a la responsabilité de la transmission de la foi orthodoxe par l’image. Il ne s’agit en aucun de la transmission d’une foi par rapport à une autre ou d’une église par rapport à une autre , mais de la transmission de la véracité de l’enseignement de l’église indivise au cœur de l’église divisée. Cela s’adresse autant aux orthodoxes qu’aux catholiques (même si le rapport trinitaire de la théologie de l’église orthodoxe l’a protégée de la dérive iconographique).

Ainsi, en Corse, le chantier de fresque n’est pas là pour témoigner uniquement du beau ou du sacré mais de l’appréhension mystérique du dogme de la résurrection des corps.

Nous avons œuvré, avec le père Patrick Vincensini (curé catholique de la paroisse) et le père Joachim Tsopanoglou (prêtre orthodoxe du patriarchat de Constantinople) pour le témoignage commun d’une composition accès sur la Miséricorde (en cette année jubilaire de l’église catholique)

Eglise St Pierre St Paul - fresques du chœur et réalisation de cet été à gauche

Fresque centrale réalisée en 2014

Scène du lavement des pieds peinte en 2016

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