Quiétude, sérénité, prière et silence

Quiétude, sérénité, prière et silence sont les états qui nous ont accompagné tout au long de cette retraite. Quelle émerveillement que de goûter à la beauté de la Création ! Le soleil se lève sur le calme de l’île encore endormie, les touristes cannois ne sont pas encore arrivés. Les flots et le mouvement des vagues répondent aux élans du cœur et de la prière « Seigneur Jésus Christ Fils du Dieu Vivant, prends pitié de nous ! » chante toute la création. Nous contemplons et dans cette contemplation nous participons au mystère de notre propre création : « Non, nous ne sommes pas simplement fait de chair et d’os, mais de quelque chose de plus grand qui nous habite et raisonne au le plus profond de notre être ! » La prière agit comme un baume de guérison sur les plaies ouvertes de nos passions : Le monde et l’esprit du monde nous égare. Le vérité se découvre au seuil de la révélation à laquelle Dieu peut nous permettre de participer.

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A l’aube du 7e Jour, quand l’univers entier célèbre la Résurrection du Christ, nous avons célébrer le mystère de Son Incarnation et de notre Salut. La liturgie ouvre les portes du Royaume et nous recevons la Gloire de Dieu. Les entrailles de la terre deviennent les mamelles qui nous alimentent du feu de la divinité. La chapelle de la Trinité, construite selon une architecture qui raisonne au son de l’église indivise, a accueillit notre prière. Telle un calice retourné, elle recevait le nectar de notre eucharistie vivant au souffle des psalmodies et des ecténnies Kyrie Eleison, Kyrie Eleison, Kyrie Eleison !

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