L’Atelier St Jean Damascène

L’Atelier St Jean Damascène, œuvre de l’Église orthodoxe (Juridiction du Patriarcat Œcuménique), a été fondé avec la bénédiction de l’évêque Mgr Jean Kovalesky en 1965 par Ludmilla Titchenkova et Père Nicolas Garrigou dans la région parisienne, puis transplanté dans le Vercors en 1976. Dirigé actuellement par le père Jean-Baptiste Garrigou, il comprend plusieurs professeurs iconographes, fresquistes et mosaïstes dont certains sont disciples de Père Zenon, iconographe russe de renom.

L’icône a pour vocation, de réunir les êtres, de briser barrières et frontières. Là se retrouvent chrétiens de toute confession pour « chanter Dieu en couleur  ! ».

De grandes baies vitrées donnent sur la nature, et aident au recueillement et à la méditation. Et la chapelle résonne de mille invocations…

Icône, fresque et mosaïque, loin d’être seulement des peintures, nous ouvrent le cœur sur le « monde de Dieu ».

La terre et le ciel, le visible et l’invisible, le passé ou, le présent et l’avenir. L’homme moderne occidental redécouvre les valeurs symboliques du sacré et des sacrements, non de façon superficielle qui s’adresserait seulement à son intelligence, mais d’une façon profonde pour nourrir son âme et donner un sens à sa vie.

Vos témoignages

  • Michèle MacHenin 23 mai 2018 20:37

    Chers Amis de Cœur et d’Esprit, J’aime regarder la photo, si souriante et belle, de Ludmilla, qui me rappelle à mon « devoir spirituel » envers Pierre de Valukhoff, décédé en 1999 et pour qui, vous aviez donné un Panikide, accordé par le prètre catholique en l’église de Biviers. J’avais organisé cela par respect de ses origines russes blanches. Qu’importe le temps et les évènements dans ma vie depuis lors. Je n’oublierai jamais ces instants qui, par la suite, m’ont ouvert les portes de la souffrance et en même temps soutenue et donné des forces pour poursuivre le chemin sans lui. Je ne sais exprimer, aussi pieusement que vous, les choses de l’invisible offertes par le Créateur, mais mon cœur est toujours ouvert pour tous. Si un jour, je me retrouve dans la peine, c’est chez vous et pas ailleurs, que je viendrai faire quelques jours de retraite, au calme, sans oublier ma mission sur la Terre. Je vous envoie mes meilleures pensées de Haute Tarentaise, et… quelques larmes pour arroser le jardin ! Michèle

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